PAULINE & JULIEN – Paris, Paris, Paris
L’union de Pauline et Julien, c’est l’idée même que l’on se fait du grand mariage parisien : les ors de l’Hôtel de Ville du XVème, la nef de l’Eglise de la Madeleine, l’exclusivité du Cercle des Armées et le prestige de l’Hôtel Marois, à l’ombre du Grand Palais.
Mais c’est aussi, et surtout, l’histoire de deux personnes qui ont su s’entourer de bienveillance et en dispenser tout autant. D’amis fidèles qu’ils ont gardés auprès d’eux des années durant et de valeurs à l’aune desquelles ils vivent au quotidien. L’une d’elle, et j’ai pu en bénéficier directement, est la confiance.
Une confiance que Pauline et Julien m’ont accordée alors que j’étais encore vert dans le monde des mariages, et sans laquelle je n’en serai pas là où j’en suis aujourd’hui. En cela leur mariage occupe, et occupera toujours, une place spéciale pour moi.
Les festivités s’engagent la veille de la cérémonie. Pauline et Julien réunissent leurs amis proches au Chalet des Iles, à l’orée du Bois de Boulogne. L’occasion de retrouver, en toute décontraction, des êtres chers, dont certains sont venus de l’autre bout du monde.
Le Grand Jour est arrivé. Dès 9 heures, je m’en vais retrouver Pauline dans le centre de Paris, tandis qu’elle se fait pomponner, entourée de sa famille.
J’y fais notamment la connaissance de sa toute jeune sœur, merveille d’énergie positive qui n’aura de cesse, au cours de cette belle journée, de lui voler la vedette.
Belle à s’en damner, Pauline sent petit à petit le trac monter.
Après un crochet par le parc, où elle y éblouit ses demoiselles d’honneur, il est grand temps pour la mariée de retrouver Julien afin d’officialiser leur union.
Icône de la grande histoire parisienne, l’Eglise de la Madeleine sera le cadre de la cérémonie religieuse, point d’orgue de la journée, mêlant chœurs, vœux et souvenirs comme autant de moments d’intenses émotions que viendra ponctué, d’une touche de légèreté, le groupe de cariocas venu accueillir les convives sur le parvis.
Après une telle mâtinée, il est enfin l’heure de reprendre des forces. Direction le Cercle des Armées, lieu rare réservé aux militaires et à leur famille. Après des remerciements tout en sourires, place est laissée au chef et ses trésors culinaires.
L’après-midi, laissée libre, offre pour beaucoup l’opportunité d’une sieste bienvenue, avant d’entamer le dernier chapitre de la journée.
Son cadre : l’Hôtel Marois, à quelques encablures du Grand Palais. L’occasion de relâcher toute la pression et de ne plus avoir qu’à profiter, rire, chanter et danser jusqu’aux petites heures du matin.